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Fin de l’obligation de domiciliation des revenus

Avant d’aborder le sujet, il convient pour nous de vous définir la domiciliation des revenus.

Définition de la domiciliation des revenus

La domiciliation des revenus est une stratégie bancaire qui consiste à demander à toute personne physique ou morale d’ouvrir un compte courant dans la banque sollicitée pour l’emprunt. Le compte courant est un compte différent des autres comptes. Car il permet au souscripteur de recevoir le virement de son salaire ou de sa pension.

Mode de fonctionnement de l’obligation de domiciliation des revenus

Avant l’adoption du nouveau projet de loi, l’obtention d’un emprunt immobilier était conditionnée par la domiciliation des revenus de l’emprunteur. Cela constituait un viatique pour la banque. Car elle leur permettait de recouvrer plus aisément les fonds octroyés aux clients. Et cette imposition par la banque a été possible depuis le 1er janvier 2018 par l’ordonnance n°2017-1090 du 1er juin 2017. En retour, les clients recevaient, par écrit, les informations sur les bienfaits de cette procédure. Ils pouvaient bénéficier par exemple de la diminution des frais. Et les frais d’ouverture du compte devaient être pris en compte dans le calcul du TAEG (Taux Annuel Effectif Global). La durée maximale de l’obligation de domiciliation était fixée à 10 ans.

Vers l’arrêt de la domiciliation des revenus : Quel soulagement pour l’emprunteur !

L’annulation de cette ordonnance est un coup de grâce pour les emprunteurs. En effet, l’Assemblée Nationale a ratifié le jeudi 11 avril 2019, l’amendement proposé par la député Coralie Dubost. Ce qui met donc fin à cette obligation de domiciliation imposée par les banques.
Ce projet de loi PACTE (Plan d’action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises) entériné par les députés rentrera en vigueur dans le mois de juin 2019.
Toutefois, il n’est pas interdit aux organismes de prêt de demander aux emprunteurs la domiciliation des revenus. Il appartiendra aux institutions financières de proposer des mesures incitatives, des avantages intéressants pour amener les clients à faire domicilier leurs comptes. Elle ne doit plus être automatique et obligatoire. Elle doit s’inscrire dans le cadre d’une négociation commerciale entre le prêteur et l’emprunteur du prêt immobilier.

Le télétravail peut-il influencer le marché de l’immobilier ?

Depuis les dix dernières années, le télétravail, un secteur influenceur, a fait ses grandes preuves dans le quotidien de chacun. Son succès et ses avantages en font de lui une démarche à privilégier pour améliorer non seulement la qualité de vie en général, mais l’organisation du travail également. S’appuyant sur les technologies numériques, peut-il aussi influencer le secteur de l’immobilier ?

Le télétravail, un secteur à la fois dynamique et avantageux

S’inscrivant dans une dynamique de changement, le télétravail se voit aujourd’hui comme étant une meilleure solution à adopter pour un meilleur équilibre de vie tant personnelle que professionnelle. En plein essor, l’utilisation de divers outils digitaux massive dans le quotidien a conduit à une transformation intégrante de la vie actuelle. Et c’est cette révolution digitale qui a bien changé la manière d’accomplir les différentes tâches professionnelles. En effet, le télétravail est un concept qui a jusqu’ici satisfait plus d’un million de salariés leur donnant même la possibilité de travailler de plus en plus à domicile.

Le télétravail, un levier important pour l’immobilier

L’essor du télétravail va-t-il redessiner également les investissements dans la pierre ? C’est la question qui frôle l’esprit de tous les investisseurs aujourd’hui. Avec ces nouvelles méthodes de travail, la mobilité géographique est actuellement repensée surtout du côté de ses jeunes qui espèrent voir leur cadre de vie bien plus amélioré. D’après une étude menée par l’institut de sondage, environ 40 % des Français envisagent de réaliser dans les 5 prochaines années une mobilité géographique. Et ce serait les habitants Parisiens qui arrivent en tête. On peut conclure que le lien entre enjeux immobiliers et télétravail est bien évident. Pour ce qui est des villes décrites, le choix se tourne à première vue du côté des villes plus attractives. A ce titre, Bordeaux tout comme Nantes en font partie des plus prisées.

Les investisseurs, un choix qui s’oriente vers le durable

Lorsqu’il est question d’acheter un bien immobilier, il est indispensable que l’on tienne compte des enjeux énergétiques. Ici, la performance énergétique de la maison est un critère important, un point essentiel qui va déterminer sa valeur. Aussi, accorder une attention particulière à cet espace et à la durabilité du logement est une étape majeure dans la décision d’achats immobiliers. Si l’on se concentre sur le sondage français, la présence d’un espace vert aux environs s’avère être également importante.

En somme, le travail à domicile dans l’immobilier se développe davantage aujourd’hui en raison de sa souplesse, sa flexibilité, mais surtout son autonomie.

Les taux immobiliers toujours en baisse

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Les taux hypothécaires ont chuté un peu au cours de la première partie de cette année, ce qui en fait un bon moment pour acheter ou refinancer une maison pour de nombreuses personnes en Europe. À la fin de l’an dernier, de nombreux économistes et analystes du logement prédisaient une hausse progressive des taux hypothécaires au cours de cette année. Mais jusqu’à présent, nous avons constaté l’inverse.
Mis à part quelques « hausses », les taux hypothécaires ont en fait baissé régulièrement au cours des 12 premières semaines de 2019. Cela donne aux acheteurs une chance de bloquer leurs prêts hypothécaires à des taux historiquement bas.

Les taux hypothécaires en baisse

Les taux hypothécaires ont fortement chuté depuis le début de l’année et les prix des logements continuent de se modérer, ce qui devrait aider les acheteurs de maison à devenir plus abordables. L’amélioration de l’accessibilité économique et des stocks plus importants qu’au cours des dernières saisons de vente printanières devraient permettre d’améliorer la demande de vente de maisons.
Bien sûr, nous ne savons pas combien de temps les taux resteront à ce niveau. Ils pourraient continuer à chuter jusqu’au printemps 2019. Ils pourraient se stabiliser. Ou ils pourraient encore tourner au nord. Il n’y a tout simplement aucun moyen de prédire cela, à long terme, avec une précision complète.

Baisse surprise du propriétaire occupant

La plus grande surprise dans les données a été une forte baisse des prêts aux propriétaires occupants, en baisse de près de 4 % sur le mois – ou de plus de 10 % pour l’année.
Les propriétaires occupants sont en grande partie responsables de la rétention du marché, de nombreux investisseurs ayant été écartés par la hausse des taux hypothécaires et par les normes de crédit plus strictes imposées par les régulateurs.

« Il est probablement un peu prématuré de dire que nous sommes à un point tournant dans l’octroi de prêts à ce segment du marché. Mais la baisse a certainement été importante en août.
Les prêts aux investisseurs ont également continué à baisser. Il a maintenant baissé de plus de 20 % par rapport à l’an dernier.

Malgré les prévisions publiées l’an dernier, les taux d’intérêt hypothécaires ont régulièrement baissé en 2019. En fait, le taux moyen des prêts à l’habitation fixe de 30 ans a récemment chuté à son point le plus bas depuis plus d’un an. Du point de vue des intérêts, le moment est peut-être bien choisi pour acheter ou refinancer une maison.

Top 10 des villes les moins chères en location

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Trouver un logement à louer peut vite devenir un vrai casse-tête, surtout avec un budget limité. Voici, pour vous aider dans vos recherches, une liste de dix villes parmi les moins chères de France pour la location d’appartement.

Saint-Etienne

Petite ville au Sud de Lyon, en location il faut compter environ 8€ le m². Surnommée la « Capitale du Design », Saint-Etienne arrive en tête des villes où les prix de l’immobilier sont les moins chers.

Nîmes

Entre Avignon et Montpellier, Nîmes profite d’une situation géographique de choix dans le Sud de la France. Le prix moyen du m² y est de 10,5€ : une solution bon marché pour ceux qui souhaitent emménager près de la Mer Méditerranée.

Angers

Direction le Pays de la Loire et ses villes chargées d’histoire avec Angers, qui propose des logements en location pour une moyenne de 10,7€ le m². Capitale historique de l’Anjou, Angers est une cité urbaine et culturelle dynamique

Toulon

C’est sur la côte d’azur que l’on retrouve la petite ville de Toulon. Malgré la forte demande de location, on y retrouve un prix moyen au m² de 11,5€. Il faut néanmoins se tenir prêt à saisir toutes les occasions si l’on souhaite résider dans l’hypercentre de la ville.

Le Havre

Ville dynamique grâce à son port (2e de France après celui de Marseille), Le Havre propose également des prix attractifs concernant la location d’appartement: comptez environ 11,5€ le m²

Dijon

La ville de Dijon s’impose comme la Capitale régionale de la Bourgogne Franche-Comté. Pour une moyenne de 11,7€ le m², vous pourrez louer un appartement dans cette ville chargée d’histoire et de culture qui porte l’emblème et l’héritage des Ducs de Bourgogne.

Reims

Connue pour sa cathédrale, la « Cité des Rois » reste une des villes les plus attractives de France en termes d’immobilier : environ 12€ le m² pour la location. Sa situation géographique lui permet d’être proche à la fois de Paris, et de pays étrangers comme la Belgique et le Luxembourg.

Rennes

Cap sur le chef lieux de la Bretagne où les prix du m² en location tournent autour de 12,4€. Anciennement capitale du Duché de Bretagne, la ville de Rennes dispose d’un centre historique reconstruit tout en pierre, à la suite d’un incendie ravageur au XVIIIe siècle.

Grenoble

Place stratégique entre le Sud de la France et la Suisse, un autre atout de Genève réside dans son attractivité en termes de prix de location : en moyenne 12,4€ le m². Il y a de quoi trouver son bonheur dans la ville que l’on surnomme « La Capitale des Alpes ».

Villeurbanne

En périphérie de Lyon, Villeurbanne est un bon compromis pour ceux qui souhaite se rapprocher le plus possible du centre de la grande ville. Il vous faudra compter environ 12,7€ le m² pour louer un appartement dans la deuxième ville de banlieue la plus peuplée de France.

Quel est le temps moyen pour trouver un locataire ?

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Lorsqu’on souhaite faire louer son appartement ou sa maison, il est indispensable de bien vous préparer. Et outre les diverses formalités à remplir, trouver un locataire bien sérieux est essentiel. Si certains disent que ce temps dépend en général de la ville où se trouve le logement, d’autres expliquent qu’il s’agit en fait de la maison et de son confort. Mais quel est le temps moyen pour en trouver un qui correspond à vos attentes ?

Louer un studio : 41 jours pour trouver un locataire

Rennes, Paris, Bordeaux, Nantes et Lyon font partie des villes les plus prisées des locataires pour leur dynamisme. L’investissement locatif est une véritable Mecque et Rennes se voit comme étant une ville potentielle affichant des délais de location très bas sur le marché.
Dans la capitale bretonne par exemple, il ne vous faut que 12 jours pour louer un studio. La seconde place est accordée à Bordeaux. Et même si le prix est trop élevé, les candidats-acquéreurs choisissent la location. Bien décourageant la plupart du temps, ce choix reste néanmoins très intéressant.
À ce titre, il n’y a rien d’étonnant à ce qu’il faut deux semaines environ à un propriétaire pour trouver un locataire pour sa maison ou son appartement. Et à Paris comme à Lyon, les délais de location peuvent atteindre jusqu’à 19 jours environ.

Louer une maison de type T2 : compter 45 jours pour trouver un locataire

Bordeaux se voit ici comme l’une des villes où les deux pièces se louent très rapidement. Votre T2, s’il se situe dans la capitale du vin peut se louer en 18 jours à peine.
Les délais pour trouver un locataire dans les villes de Rennes et Lyon se limitent à 19 ou à 21 jours, même si les vacances locatives sont assez limitées.
À Saint-Étienne par exemple, les délais s’allongent un peu plus, car il vous faudra compter jusqu’à 94 jours pour louer un logement T2. Et à Paris, il vous faudra compter environ 23 jours.

Louer un logement de type T3 : 52 jours pour trouver un locataire

Le prix de l’immobilier Stéphanois figure parmi les plus abordables sur le marché dans l’Hexagone. Ces délais y sont très élevés. La durée moyenne est alors de 132 jours pour faire louer sa maison de type T3.
Bordeaux et Lyon pour leur part se voient comme les meilleures villes où vous pourriez très facilement faire louer vos 3 pièces.